Jennifer
L'amour est la grande affaire de notre vie et, comme le prévoit le contrat de mariage (pour ceux qui se marient encore !), il peut mener au pire ou au meilleur ! Ma chanson d'aujourd'hui parle du triste sort de ceux qui tombent sous le charme d'une femme "fatale". Vous allez peut être me soupçonner de misogynie et me dire : "Pourquoi évoquer les femmes et pas les hommes fatals ?". Il est vrai qu'il y en a eu de célèbres tels que Don Juan, Casanova, le Comte Dracula ou Barbe Bleue (le plus fatal d'entre eux) et, plus près de nous, James Bond. Mais mon inclination me portant sur le sexe opposé, j'ai choisi l'aspect féminin du sujet.
Je précise, tout d’abord, qu’il n’y a rien d’autobiographique dans ma chanson qui parle d’une femme fatale, Jennifer, qui a mis son amant "aux fers" ! Notez en outre que je n'en déduis pas que toutes les "Jennifer" soient des "dames de fer » ! Je ne veux surtout pas me les mettre à dos !
Les seules femmes fatales que j'ai croisées sont des héroïnes légendaires comme la fée Morgane, ou historiques comme Hélène de Troie, Cléopatre ou Mata Hari ou de romans comme Les Diaboliques de Barbey d’Aurevilly, la Dame aux Camelias d’Alexandre Dumas ou Nana de Zola . Mais celle qui m'a le plus fait fantasmer dans mon adolescence n'est pas Marilyn ni B.B mais l'héroïne de cet envoûtant poème de Baudelaire « Les bijoux » qui commence par ce vers « La très chère était nue, et, connaissant mon cœur… »
Ces femmes fatales que je ne connais que virtuellement – comme vous je l’espère chers lecteurs - vous prennent dans leur "toile", vous font perdre la raison, annihile votre volonté et vous soumette corps et âme à leurs caprices et volonté.
Vous pouvez écouter ma chanson "Jennifer" tout en faisant défiler les photos qui illustrent les paroles :
Le jour où j’ai croisé ton chemin
J’aurais mieux fait d’louper mon train
Depuis ma vie est un enfer
Oh ! Jenny ! Jenny Jennifer !
Quand j’ai envie de voir mes potes
Tu les laisses dehors à la porte
Et quand une « ex » me téléphone
Après j’ai les oreilles qui sonnent
Oh Jenny, Jenny Jennifer
Ma mie tu m’as mis aux fers
Corps et âme je t’appartiens
Je n’suis qu’un jouet entre tes mains
La première fois qu’j’ t’ai embrassée
J’aurais mieux fait d’rester couché
Depuis ma vie est un enfer
Oh ! jenny ! jenny Jennifer !
J’regarde plus l’ foot à la télé
Dans un placard tu l’as rangée
Plus de cigarette, plus de cinoche
Je n’ai même plus d’argent de poche
Oh Jenny, Jenny Jennifer
Ma mie tu m’as mis aux fers
Corps et âme je t’appartiens
Je n’suis qu’un jouet entre tes mains
Quand tu m’as ouvert ton lit
J’aurais dû dire « arrivederci
Depuis ma vie est un enfer
Oh ! Jenny ! jenny Jennifer
Depuis on passe toutes nos nuits
Et toutes nos journées aussi
Jours de semaine et jours fériés
A faire des choses qu’ j’dois censurer
Oh Jenny, Jenny Jennifer
Ma mie tu m’as mis aux fers
Corps et âme je t’appartiens
Je n’suis qu’un jouet entre tes mains
Quand j’ai envie d’un mojito
Tu me ramènes une menthe à l’eau
Quand j’veux commander une pizza
Tu me prépares du quinoa
Mais à toi je suis accro
Je t’ai ,je t’ai dans la peau
Tu es comme une drogue dure
Il faut dire que tu assures
Oh Jenny, Jenny Jennifer
Ma mie tu m’as mis aux fers
Corps et âme je t’appartiens
Je n’suis qu’un jouet entre tes mains
NB : la statuette femme en ferronnerie d'art est d'André Debru dont je vous invite à visiter l'atelier en plein air situé en Aveyron.
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Vous pouvez aussi écouter mes chansons regroupées par album
en cliquant sur le nom de l'album en haut de la colonne de gauche
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Texte, paroles, musique, photos & chant
Old Nut
(Je suis membre de la SACEM et toute reproduction ou utilisation publique
ou à des fins commerciales de mes chansons est interdite sans mon accord).
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